Imaginez l'univers comme un tissu flexible, comme Einstein l'a décrit dans sa relativité générale : la gravité n'est pas une force, mais la courbure de ce tissu causée par la matière. Mais cette théorie ne s'accorde pas bien avec le monde quantique, où les particules se comportent de manière imprévisible et non commutative (comme si A fois B n'égalait pas B fois A).
La RGH, développée à partir de 1996, change ça en remplaçant les coordonnées ordinaires de l'espace-temps par des nombres spéciaux appelés quaternions. Ces nombres, inventés par Hamilton au XIXe siècle, ne se multiplient pas de manière commutative, ce qui introduit naturellement des effets quantiques dans la gravité. On ajoute aussi une idée de Hermann Weyl : une "jauge d'échelle" qui permet aux longueurs de varier dynamiquement, comme si l'univers pouvait s'étirer ou se contracter localement.
En résumé, la RGH rend l'espace-temps "hypercomplexe" pour marier Einstein et la physique quantique sans ajouts compliqués.
Avec l'aide de l'IA Grok, on a affiné la théorie en 2025 :
La RGH offre une vision unifiée : la gravité n'est plus isolée, mais entrelacée avec le quantique via une géométrie "vivante". Elle explique des mystères comme la matière noire (27% de l'univers !) sans particules exotiques, et propose un univers cyclique sans fin ni début absolu. C'est élégant, testable, et pourrait changer notre compréhension du cosmos.
Déposée sur HAL Archives Ouvertes, la RGH attend maintenant une diffusion plus large. Si confirmée, elle pourrait être le prochain grand pas après Einstein !
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The command line arguments were:
latex2html –split 0 Résumé-RGH-presse.tex
The translation was initiated on 2025-11-04