Laurent Besson, Yvan Rahbé, Grok 4
Date: 1998
La relativité générale est avec la physique quantique (le modèle standard
des particules) une théorie profonde mais qui avec la physique quantique
ne se marie pas. Dans cette théorie la force de la gravitation n'est
que la manifestation de la courbure même de l'espace-temps en présence
de matière (densité). L'espace-temps dit comment à la matière se comporter
et elle-même à l'espace-temps comment se courber. La physique quantique
utilise encore les espace de Minskowski qui ne sont pas courbes et
sont les espaces-temps de la relativité restreinte. Or à cet espace-temps
plat, nous associons des espace de Hilbert de dimension (n) décrivant
les interactions entre particules par leurs états . Or
il apparait dans beaucoup de situations que le produits de deux états
(A et B) ne soient pas équivalents à (B et A). C'est à dire
,
en résumé non commutatifs. Par ailleurs il est bon de rappeler que
les matrices de Pauli (non commutatives) ont quelque chose de «proche»
au nombre inventé par Hamilton (Quatrenions) : https://fr.wikipedia.org/wiki/Quaternion#Repr.C3.A9sentation_des_quaternions_comme_matrices_2x2_de_nombres_complexes.
Que celles-ci sont utilisées en physique quantique. L'idée la plus
simple est de penser le quadri-vecteur comme identique à celui imaginé
par Einstein mais avec des nombres (non réels) quaternions. Nous verrons
ainsi que certaines propriétes non commutatives imposent des équations
impliquant les indéterminsations de Heinsenberg de façon naturelle.
La relativité générale hypercomplexe se définie comme la RG mais avec des composantes des quadri-vecteurs hypercomplèxes.
où
et les composantes de
sont
des nombres quaternions.
ensemble des quaternions, noté
tel
avec
,
pour
Ce qui donne pour un quadri-vecteur
hypercomplèxe :
Les notations d'Einstein lorsqu'elles sont sans ambiguïtés sont :
où la
somme est sous entendu sur les indices hauts ou bas.
Le principe d'équivalence reste vrai.
Les coordonnées de l'espace-temps sont hypercomplèxes (cf : Nombres Quaternions).
On note la dérivée covariante par coordonnée :
| (4.1) |
| (4.2) |
Nous devons re-définir un certain nombre de grandeurs telle que la
courbure, en effet comme nous étendons la définition de quadri-vecteur,
la courbure va s'étendre en faisant apparaître des termes supplémentaires.
Ceux-ci, et on le constatera, pourront se coupler entre eux. L'intérêt
est que nous retrouverons le tenseur courbure de Riemann
et de Ricci
, puis d'autre qui pouront être associés
à d'autres champs physiques, qui de plus pourront se coupler entre
eux et s'autocoupler. Pour re-définir ces tenseurs nous devons reprendre
les calculs de transport d'un quadri-vecteur, faisant apparaitre bien
évidemment les symboles de Christoffel
http://fr.wikipedia.org/wiki/Symboles_de_Christoffel, et donc
le tenseur de courbure. Mais d'autres tenseurs tels que :
, dont
est le tenseur de «courbure»
métrique de Weyl http://classiques.uqac.ca/collection_sciences_nature/fabre_lucien/Nouvelle_figure_du_monde/Nouvelle_figure_du_monde.htm#AppendiceI(qui
fera apparaitre le champ
électromagnétique). Et
qui introduira d'autres tenseurs... Dont la signification physique
sera à discuter.
Soit
un quadri-vecteur
On utilise la jauge d'échelle de Weyl http://luth2.obspm.fr/
luthier/nottale/arLecce.pdfou
http://classiques.uqac.ca/collection_sciences_nature/fabre_lucien/Nouvelle_figure_du_monde/Nouvelle_figure_du_monde.htm#AppendiceILes
liens suivants vont vous être utiles ! https://dournac.org/sciences/tensor_calculus/node29.html#SECTION00614000000000000000
https://dournac.org/sciences/tensor_calculus/node30.html https://dournac.org/sciences/tensor_calculus/node40.html
| (5.1) |
| (5.2) |
| (5.3) |
| (5.4) |
| (5.7) |
| (5.9) |
| (5.13) |
| (5.14) |
Étape 3: Identification des Termes
| (5.15) |
C'est le tenseur qui mène aux équations d'Einstein
,
quand contracté à Ricci.
| (5.16) |
Le [ , ] est le commutateur quaternionique. Ça ressemble au
tenseur EM
| (5.17) |
Ça introduit une torsion ou champ spin-like.
| (5.18) |
Pour dériver les équations de champ et les couplages de RGH, nous
proposons des lagrangiens variationnels. Le lagrangien total est de
la forme
, où chaque
terme capture un aspect de la théorie.
Le terme classique d'Einstein-Hilbert :
| (6.1) |
Inspired by Weyl gravity, a kinetic term for :
| (6.2) |
Un terme similaire pour :
| (6.3) |
Des termes mixtes, par ex. pour -
:
| (6.4) |
| (6.5) |
L'action totale :
| (6.6) |
Les équations de champ sont dérivées par variation de l'action .
Le théorème d'Ostrogradsky établit qu'un système dont le Lagrangien dépend de dérivées temporelles d'ordre supérieur d'une variable dynamique de manière non dégénérée conduit à un Hamiltonien non borné inférieurement, engendrant une instabilité fondamentale. Ce résultat, démontré initialement pour les systèmes à une dimension, s'étend naturellement aux théories de champs relativistes.
Pour un système défini par une variable généralisée et un
Lagrangien
, la procédure canonique
conduit à l'Hamiltonien suivant :
| (8.1) |
où les moments conjugués sont
| (8.2) | |||
| (8.3) |
Si
dépend non dégénérément de
(c'est-à-dire
si
), alors
dépend linéairement de
et n'est pas borné inférieurement
:
| (8.4) |
Ce comportement traduit l'instabilité d'Ostrogradsky, qui rend la théorie physiquement non viable (énergie non bornée, apparition de modes fantômes).
Dans la formulation hypercomplexe de la métrique, notée
avec
, le Lagrangien gravitationnel généralisé s'écrit
:
| (8.5) |
En développant selon les composantes réelles et hypercomplexes,
on obtient :
| (8.6) |
Ainsi, la dépendance du Lagrangien complet ne dépasse pas le second
ordre en dérivées de la métrique réelle
, et aucune dérivée
d'ordre supérieur n'apparaît dans le secteur hypercomplexe. Les variables
jouent le rôle de champs auxiliaires dégénérés, entièrement
déterminés par les équations de champ couplées :
| (8.7) |
La dégénérescence de la dépendance en dérivées supérieures empêche la construction d'un Hamiltonien linéairement dépendant des moments conjugués. L'énergie effective associée à la dynamique hypercomplexe reste bornée inférieurement, garantissant l'absence d'instabilité d'Ostrogradsky et la cohérence énergétique du système.
En résumé, la RGH appartient à la classe des théories de gravité modifiées stables et sans fantômes, préservant la borne inférieure de l'énergie et la cohérence dynamique de la métrique généralisée.
Variation par rapport à la métrique
donne les équations
d'Einstein modifiées :
| (8.8) |
| (8.9) |
Variation par rapport à
donne les équations de
Maxwell généralisées :
| (8.10) |
Variation par rapport à
donne :
| (8.11) |
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The command line arguments were:
latex2html –split 0 RGH-by-lolo-et-Grok-4.1.2-Lagrangien-derivation-equations-de-champs-precis.tex
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